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Le Labyrinthe - souffle des temps.. Tamisier..

Souffle et épée des temps ; archange ; prophéte : samouraï en empereur : récit en genre et en nombre de soldats divin face à face avec leur histoire gagnant des points de vie ou visite dans des lieux saint par et avec l'art ... soit l'emblème nouvau de jésuraléme.

Cahier de textes TSTL PLPI



Mercredi 30 janvier 2008
Suite du cours sur la vérité : la réfutabilité selon Karl Popper


Mercredi 23 janvier 2008
Absent pour cause de concours


Mercredi 16 janvier 2008
Suite du cours sur la vérité : Emmanuel Kant.


Mercredi 9 janvier 2008
Suite du cours sur la vérité : le rasoir d'Occam.


Vacances de Noël



Mercredi 19 décembre 2007
Corrigé des compositions et méthodologie.


Mercredi 12 décembre 2007
Suite du cours sur la vérité : l'immatérialisme de Berkeley.


Mercredi 5 décembre 2007
Suite du cours sur la vérité : le problème de la subjectivité.


Mercredi 28 novembre 2007
Elèves en compositions.


Mercredi 21 novembre 2007
Suite du cours sur la vérité : la nécessité de la vérification expérimentale.

A faire pour la séance du 9 janvier : traiter un des trois sujets au  choix. Pour information, il paraît difficile d’écrire une bonne copie de philosophie en moins d’une copie double.

Peut-on connaître ce dont on n’a pas l’expérience ?

La vérité n’est-elle qu’une question de point de vue ?

Texte de Gaston Bachelard :
La science, dans son besoin d’achèvement comme dans son principe, s’oppose absolument à l’opinion. S’il lui arrive, sur un point particulier, de légitimer l’opinion, c’est pour d’autres raisons que celles qui fondent l'opinion ; de sorte que l’opinion a, en droit, toujours tort. L’opinion pense mal ; elle ne pense pas : elle traduit des besoins en connaissances. En désignant les objets par leur utilité, elle s’interdit de les connaître. On ne peut rien fonder sur l’opinion : il faut d’abord la détruire. Elle est le premier obstacle à surmonter. Il ne suffirait pas, par exemple, de la rectifier sur des points particuliers, en maintenant, comme une sorte de morale provisoire, une connaissance vulgaire provisoire. L’esprit scientifique nous interdit d’avoir une opinion sur des questions que nous ne comprenons pas, sur des questions que nous ne savons pas formuler clairement. Avant tout, il faut savoir poser des problèmes. Et quoi qu’on dise, dans la vie scientifique, les problèmes ne se posent pas d’eux-mêmes. C’est précisément ce sens du problème qui donne la marque du véritable esprit scientifique. Pour un esprit scientifique, toute connaissance est une réponse à une question. S’il n’y a pas eu de question, il ne peut y avoir connaissance scientifique. Rien ne va de soi. Rien n’est donné. Tout est construit.

Questions :
1) Autour de quelle opposition le texte est-il bâti ? Mettez en évidence le mouvement de la pensée de l’auteur en indiquant les articulations logiques de l’extrait.
2) Que veut dire l’auteur quand il parle de « sens du problème » ?
3) Expliquez la phrase : « En désignant les objets par leur utilité, [l’opinion] s’interdit de les connaître. ».
4) Vous traiterez la question suivante sous forme d'un développement ordonné et argumenté : la marche de la science est-elle toujours destructrice de l’opinion ?


Mercredi 14 novembre 2007
Corrigé des compositions.


Vacances de Toussaint



Mercredi 24 octobre 2007
Suite du cours sur la vérité : monde des Idées et monde sensible.


Mercredi 17 octobre 2007
Suite du cours sur la vérité : la tolérance à la vérité.


Mercredi 10 octobre 2007
Introduction du cours sur la vérité.


Mercredi 03 octobre 2007

Une heure de cours consacrée à l'événement survenu vendredi 28 septembre.
Une heure consacrée au corrigé de la question : "Puis-je dire que je contrôle mes actes ?"

A faire pour la séance du 10 octobre : lire attentivement la première partie du Discours de la méthode de Descartes.

A faire pour la séance du 24 octobre : traiter un des trois sujets au choix, sur une copie volante.

Peut-on dire que le vrai est ce qui réussit ?

La liberté peut-elle se définir comme l'obéissance à la raison ?

Texte d'Alain :
Penser n'est pas croire. Peu de gens comprennent cela. Presque tous, et ceux-là même qui semblent débarrassés de toute religion, cherchent dans les sciences quelque chose qu'ils puissent croire. Il s'accorchent aux idées avec une espèce de fureur ; et si quelqu'un veut les leur enlever, ils sont prêts à mordre [...]. Lorsque l'on croit, l'estomac s'en mêle et tout le corps est raidi ; le croyant est comme le lierre sur l'arbre. Penser, c'est tout à fait autre chose. On pourrait dire : penser, c'est inventer sans croire. Imaginez un [...] physicien, qui a observé longtemps les corps gazeux, les a chauffés, refroidis, comprimés, raréfiés. il en vient à concevoir que les gaz sont faits de milliers de projectiles très petits qui sont lancés vivement dans toutes les directions et viennent bombarder les parois du récipient. Là-dessus, le voilà qui définit, qui calcule ; le voilà qui démonte et remonte son "gaz parfait" comme un horloger ferait pour une montre. Eh bien, je ne crois pas du tout que cet homme ressemble à un chasseur qui guette une proie. Je le vois souriant, et jouant avec sa théorie, je le vois travaillant sans fièvre et recevant les objections comme des amies ; tout prêt à changer ses définitions si l'expérience ne les vérifie pas, et cela très simplement, sans gestes de mélodrame. Si vous lui demandez : "Croyez-vous que les gaz soient ainsi ?" il répondra : "Je ne crois pas qu'ils soient ainsi, je pense qu'ils sont ainsi."
Questions :
1) Autour de quelle opposition le texte est-il bâti ? Mettez en évidence le mouvement de la pensée de l'auteur en indiquant les articulations logiques de l'extrait.
2) Expliquez l'expression : "le croyant est comme le lierre sur l'arbre".
3) Expliquez l'expression : "penser, c'est inventer sans croire".
4) Vous traiterez la question suivante sous forme d'un développement ordonné et argumenté : en quoi le travail du scientifique peut-il s'apparenter à un jeu théorique ?

Mercredi 26 septembre 2007
Suite du cours sur la liberté : Freud et la psychanalyse, ici, ici et ici.


Mercredi 19 septembre 2007
Suite du cours sur la liberté.

A faire pour la séance du 26 septembre : examiner la question : "Puis-je dire que je contrôle mes actes ?" Sur une copie volante, répondre aux quatre questions suivantes :

1) Définir les mots importants de la question (être aussi précis que possible).
2) Face à cette question, votre première réponse serait-elle "oui" ou "non" ? Pourquoi ? Donnez un argument ("oui, parce que..." ou "non, parce que...").
3) Prenez la réponse contraire à celle que vous avez donnée à la réponse 2. Si vous deviez soutenir cette réponse et la justifier, que diriez-vous ? Donnez un argument.
4) Observez les réponses 2 et 3 que vous avez données. Elles s'affrontent l'une l'autre. Pourquoi cette querelle pose-t-elle un problème ? Indiquez au moins une situation de la vie courante où le problème se pose de manière aiguë et urgente.


Mercredi 12 septembre 2007
Suite du cours sur la liberté.

A faire pour la séance du 19 septembre : lire le texte d'Aristote ci-dessous et répondre sur feuille volante aux quatre questions qui suivent.

On voit d’une manière évidente pourquoi l’homme est un animal sociable à un plus haut degré que les abeilles et tous les animaux qui vivent réunis. La nature, comme nous disons, ne fait rien en vain. Seul, entre les animaux, l’homme a l’usage du discours (logos) ; la voix (phonê) est le signe de la douleur et du plaisir, et c’est pour cela qu’elle a été donnée aussi aux autres animaux. Leur organisation va jusqu’à éprouver des sensations de douleur et de plaisir, et à se le faire comprendre les uns aux autres ; mais le discours a pour but de faire comprendre ce qui est utile ou nuisible, et par conséquent aussi, ce qui est juste ou injuste. Ce qui distingue l’homme d’une manière spéciale, c’est qu’il perçoit le bien et le mal, le juste et l’injuste, et tous les sentiments de même ordre dont la communication constitue précisément la famille et l’Etat.

Questions :
1) Dégagez l'idée principale du texte.
2) Expliquez la phrase : "La nature ne fait rien en vain."
3) Définissez : "utile" et "nuisible".
4) La distinction qu'opère Aristote entre voix et discours vous paraît-elle fondée ? Présentez au moins trois arguments à l'appui de votre position.


Mercredi 5 septembre 2007
Prise de contact. Première approche concernant la philosophie. Brève présentation de l'épreuve au baccalauréat. Conseils relatifs à la réflexion. Début du cours sur la liberté.

A faire pour la séance du 12 septembre : examiner la question : "qu'entend-on au juste par le mot "liberté" ?"

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T
Bonjour, je suis élève en terminale S 2. Je suis dans le fond de la classe (pour vous situer car je suis un peu timide). Je voulais vous dire que j'adore votre façon de travailler par internet. Vous apportez de la jeunesse dans les méthodes de travail. Merci
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J
Merci beaucoup pour ce commentaire. Je crois effectivement nécessaire de dépoussiérer les pratiques. Bonne année scolaire.